La BNP Paribas, leader dans son domaine en Europe a connu un échec. De nombreux établissements bancaires ont eu ce même problème à cause de l’atonie des marchés. Globalement, les revenus sont diminués de 0,4% pendant ce troisième trimestre. Mais quoi qu’il en soit, BNP Paribas a eu la chance d’augmenter ses bénéfices nets où la réforme fiscale aux États-Unis et la cession de 30,3 % de First Hawaiian Bank l’a soutenu.
Baisse de 0,4 % du produit net bancaire grâce aux services spécialisés
Avec les services financiers spécialisés de la BNP Paribas pour rachat credit, comme les produits d’assurance et le crédit à la consommation distribué par Personal Finance, ils ont quand même eu de succès au niveau de leur bilan de ce dernier trimestre. Même s’il y a eu une baisse des revenus de la banque d’investissement et de l’activité de détail en Europe (-3,5 % et -1,1 % respectivement).
A la fin du mois de septembre, BNP Paribas n’a eu que 10,35 milliards d’euros pour son produit net bancaire, c’est à dire qu’il y avait eu une baisse de 0,4 %. Mais grâce à l’effet de l’allègement de la fiscalité américaine en plus de la plus-value de 286 millions d’euros réalisée sur la vente de titres First Hawaiian Bank, ils ont quand même réussi à atteindre les 4% pour avoir 2,12 milliards d’euros de bénéfice.
Repli du titre en Bourse après la publication des résultats
Pourtant à la fin du mois d’octobre, des investisseurs ont semés leur doute. D’après eux, il y a eu un décrochage de l’action BNP Paribas sur les places financières. Selon Jefferies, l’affaiblissement des taux ont touchés spécifiquement les taux faibles ont particulièrement affecté le courtage de produits de taux, changes et matières premières à l’instar de Deutsche Bank. Ceci dit, il y a eu 15% de contraction pendant cette période et c’est la cause de la plus faible performance depuis 2013. A cause de l’économie italienne, du Brexit et d’une guerre commerciale avec les États-Unis les investisseurs se sont permis de rester dans une totale vigilance.
Quoi qu’il en soit, une charge exceptionnelle de 267 millions d’euros a été montrée pour ce dernier trimestre pour la BNP Paribas. C’est une charge obtenue par les conquêtes en Pologne et en Allemagne, avec les dépenses engagées pour sa transformation. A cause de cette charge, il y a eu une chute à 70,3 % du coefficient d’exploitation.
Décélération de la baisse des revenus d’intérêts
Comme la direction a prévu un chiffre d’affaires qui ressemble au chiffre donné en haut, la récolte est dans ce cas bon selon les analystes de Jefferies du côté de la banque de détail. Même s’il y a une baisse dans sur le produit net bancaire dans les réseaux physiques, l’Hexagone a fait en sorte de faire de suivi sur le ralentissement de la diminution des revenus d’intérêts. Ils constatés que les demandes de renégociations concernant les prêts immobiliers ont diminués parce qu’il y a eu une baisse de 1,1 % entre avril et juin, ce qui s’est limitée à 0,1 % entre juillet et septembre.